Slate sort l’épouvantail Maoïste pour défendre Finkielkraut

Lorsque la pseudo radicalité affichée par ce journal s’efface, il ne reste plus qu’un visage bien triste, bien commun, celui du petit-bourgeois effrayé.

 

Slate fait pourtant partie de ces pages médias qui apprécient, pourtant, quand il se déroule des faits divers, des commérages de couloirs, de belles unes qui font le buzz, qui font le click salvateur et rentable sur leur page.

 

Slate aime bien les histoires violentes, les histoires de combats, les histoires de souffrances. C’est beau le peuple qui souffre, c’est beau et ça permet de s’offusquer devant son écran, entre deux visionnages de youtubeurs et de youtubeuses qui expliquent la vie derrière une caméra, dans un flux lacéré de jumpcuts.

 

Mais Slate n’aime pas trop certaines choses, et n’aime pas trop que les gens aillent trop loin dans leur propre pays.

 

Dans un article dédié à la visite de Finkielkraut à la nuit debout de Paris1, visite émaillée du huées et d’un crachat sur notre philosophe, un journaliste de Slate, M. Askolovitch, n’hésite pas un instant, et brandit alors un épouvantail terrifiant : Les particpants à la nuit debout, et en particulier celui qui à commi cet outrageux acte, sont des méchants maoïstes.

 

Alors comment passer d’articles racoleurs à une dénonciation en bonne et due forme du totalitarisme rampant, cheval de bataille des journalistes en manque d’inspiration.

 

Quels sont les faits ?

 

Finkielkraut, notre pseudo-philosophe qui nous prouve, avec ses comparses “philosophes post-quelque chose” que la philosophie atteint parfois de terribles rendements décroissants- a décidé de quitter sa tour d’ivoire pour aller côtoyer, l’espace d’un instant, un lieu où ceux qui luttent contre la loi travail se réunissent.

 

Nous ne pouvons que saluer cet acte. Dans un article sur le site arret sur image2, il était révélé que Alain Finkielkraut ne sortait que peu, et refusait de se confronter à la réalité. Ainsi l’ancien président de MSF Rony Brauman, parlait de lui en ces termes : «A ma grande stupéfaction, à l’époque où nous dialoguions sur Israël, il ne s’est jamais rendu dans les Territoires, du côté des Palestiniens. Il disait qu’il savait d’avance ce qu’il y avait à voir. À cette époque, j’allais parler du conflit dans les banlieues, je lui ai proposé en vain de venir pour éprouver ce miracle relationnel qui peut survenir lors d’une rencontre. Dans ses essais, il condamne la raison pure, il donne leur place aux passions, à l’émotion. Mais cette émotion-là, née de l’échange direct, il se l’interdit.». L’échange et la rencontre avec la réalité ont eu donc lieu. A ses dépends.

 

Les choses ne se sont pas déroulées comme dans un charmant débat feutré entre gens de bonne société, et voilà notre académicien hué, conspué, quittant-les oreilles bien basses- la foule.

 

La vie est dure, admettons le, même pour les grands esprits.

 

Et Slate de se feindre d’un article magistral: “Les gauchistes sont des salauds violents. Des méchants”

 

Bien évidemment, la première référence qui est venue à l’esprit est celle de Mai 1968 et des méchants maos humiliateurs de professeurs d’université.

 

Qu’est il reproché ?

 

Le rédacteur de l’article, Claude Askolovitch, accuse ceux qui ont pourfendu le pauvre académicien, d’être des héritiers des maoïstes de 1968, eux même héritiers de ceux de la révolution culturelle.

 

“Sait-il, le zouave [celui qui a craché sur Finkielkraut], qu’il est l’avatar délavé des étudiants gauchistes d’antan, qui eux-mêmes n’étaient que des copies pâlichonnes des gardes rouges de Mao, lesquels jouissaient d’humilier publiquement les rats puants de l’ordre ancien?”3

 

Nous apprécions toujours d’être comparés à des pervers sexuels, jouissants d’humilier nos ennemis de classe. C’est une analyse que M. Askolovitch, qui n’est nullement psychologue ou psychiatre, devrait garder pour lui.

 

Le mouvement de la révolution culturelle, qui, pour notre auteur, semble être l’émanation d’un désir purement viscéral, n’est aucunement parti de ces bases.

 

 

Dans la conception confucianiste, laquelle avait, même en Chine des années 1960, une grande influence, le respect aux figures d’autorités et la soumission à leurs directives était telle que cela, malgré le pouvoir communiste, formait toujours un carcan étroit autour des larges masses chinoises. Or, même au sein du PCC, se trouvait des nouveaux-mandarins qui usaient et abusaient de leur position pour leur profit personnel. Mao lui-même écrivait en 1967 : “Dans le passé, nous avons mené la lutte dans les campagnes, les usines et les milieux culturels, entrepris le mouvement d’éducation socialiste, sans parvenir pour autant à résoudre le problème, parce que nous n’avions pas trouvé une forme, une méthode permettant de mobiliser les larges masses ouvertement, dans tous les domaines, à partir de la base, pour qu’elles dénoncent notre côté sombre.” 4

 

 

Face à ces opportunistes et à leur déviations, le mouvement de la révolution culturelle voulait non seulement les mettre à bas en tant qu’individus, mais également casser le caractère quasi-sacré des fonctions d’autorités, et montrant que personne n’était inattaquable et incritiquable.

 

Dans les institutions de la Chine d’alors, la présence importante de réactionnaires formés à l’école confucianiste était massive, Mao lui même les décrivait “encore dominés à ce jour par des ‘personnages des temps révolus “ ; il critique le ministère de la Culture qui, “s’il ne change pas, devrait être rebaptisé ministère des empereurs et hauts dignitaires, ministère des damoiseaux et damoiselles ou encore ministère des personnages étrangers des temps révolus”. Quant au ministère de la Santé publique, il devrait aussi changer de nom et s’appeler “ministère de la santé pour les seigneurs de la ville.”

 

En voulant casser cette présence de gens d’un autre temps, Mao pour autant avait fait appel à des procédés qui apparaissent d’une douceur incroyable comparativement à ce que les racontars sur cette période exposent : Peu d’arrestations, pas de condamnations à mort, des relégations pour la plupart ou des destitutions de charges. Mao insistait sur l’importance des preuves dans la mise en œuvre de cette justice, mais les procès étaient, eux, publics.

 

Et c’est cela qui déplait tant à notre auteur. Le fait que tout soit exposé.

 

Si pour M. Askolovitch, le fait d’être cité sur des Dazibaos -des affiches où les torts étaient exposés- ou de devoir reconnaître ses fautes en public est une humiliation, nous avons de sérieux doutes sur sa notion d’honneur et de justice. Probablement, pour lui, cela consiste à les enterrer, les cacher sous le tapis, et ne plus en faire mention. L’outrage serait de faire étalage public de ceci, et de ne pas le garder dans l’entre-soi de la bonne société.

 

 

Dans la société sclérosée de la France à l’époque de mai 1968, sans que cela soit réellement comparable à la Chine, il se trouvait cependant une situation un peu similaire dans l’éducation, en particulier dans les lycées et les universités, où l’enseignant était incritiquable, inattaquable, bref, au dessus de ses élèves.

 

Mai 1968 n’a pas bouleversé la société française, mais on ne saurait nier que cela a eu quand même certains effets, dans les universités, et sur la culture du rapport à l’enseignant.

 

Mais nous digressons à vouloir répondre à chaque point, et l’essentiel n’est pas là.

 

Puisque la violence est l’enjeu de l’article, venons-en à ce fait. Pour notre ami, rédacteur dans plusieurs journaux -Marianne, le Nouvel Obs…etc.-, donc supposément au courant de l’actualité, Finkielkraut aurait été victime d’une agression injustifiée, de la part d’individus qui auraient dû accepter de débattre avec lui, au nom de l’utopie, au nom de la gentillesse, au nom des bons sentiments.

Ceci est révélateur d’une conception cruellement idéaliste de la part de M. Askolovitch. Finkielkraut n’est pas arrivé là bas comme un nouveau né qui vient au Monde, il traine, avec lui le fardeau de tout son passif d’expressions répugnantes, de tout son passif de provocations et d’insultes racistes.

 

Sans rentrer dans un florilège de citations, les provocations sur l’Islam, sur les races, sur les banlieues, de la part de ce philosophe, n’ont eut de cesse d’exaspérer, de pousser à bout tout ceux qui ont été ciblées par celles-ci, ainsi que ceux qui font cause commune avec eux.

Est-ce un individu lambda, mu par la bonne volonté, peut-être quelque peu ignare et immature qui s’est aventuré ce soir là à la nuit debout ?

 

Nullement.

 

 

C’est celui qui, en 1988, écrivait que la pensée anticoloniale était la grande défaite philosophique de notre époque, celui qui prétendait que la colonisation avait apporté beaucoup de bien aux africains, qui soutint Renaud Camus -théoricien du Grand Remplacement-, qui fut le grand allié de Oriana Fallaci [ les musulmans « ne sont bons qu’à lever le cul en l’air cinq fois par jour » et à se « multiplier comme des rats » ] sous le prétexte que cette auteure avait le mérite de « regarder la réalité en face ».

Ce prétexte, de voir la réalité en face, lui a permis de servir une soupe immonde, comme cette saillie, « les Antilles filent un mauvais coton idéologique » , dont on ne peut que saluer le distillat magnifique d’un humour cynique de colonisateur. Et d’autres raccourcis, impressionnant saut périlleux intellectuel réussissant à partir de la lutte anticoloniale pour retomber sur ses pattes dans l’antisémitisme « la créolité puisse servir à entretenir, outre la haine de la France coloniale, la haine d’Israël, Etat juif si vous voulez, c’est-à-dire Etat non créole, non métissé »

 

L’ironie de l’histoire a voulu qu’il déclare également, sur les émeutes des banlieues de 2005 :

« On les a traités comme des révoltés, comme des révolutionnaires. C’est la pire des choses qui pouvaient arriver à mon pays et je suis très malheureux. Pourquoi ? Parce que le seul moyen de surmonter c’est de les obliger à avoir honte. La honte, c’est le début de la morale. Mais au lieu de les pousser à avoir honte, on leur a donné une légitimité : ils sont “intéressants”. Ils sont “les damnés de la terre”. Imaginez un instant qu’ils soient blancs comme à Rostock en Allemagne ; on dirait immédiatement : le fascisme ne passera pas. Un Arabe qui incendie une école, c’est une révolte ; un Blanc, c’est du fascisme. Je suis daltonien : le mal est le mal, peu importe sa couleur. »5

 

Nous reviendrons dessus par la suite.

 

Donc, ce n’est pas un ange venu du ciel, pur et immaculé, qui est venu rendre visite aux nuits debout, mais bien cet immonde personnage, grossier et vulgaire, ce personnage qui, par le biais des médias qui l’invitent, comme d’autres, distille la haine, instille la xénophobie.

 

Ce personnage, nous ne saurions le dire autrement, est un personnage violent -en paroles-, pourrait-on dire, mais même la justice bourgeoise reconnaît que cela puisse être une violence.

 

L’agression permanente, l’agression continuelle de la part de ces haut-parleurs de la réaction, est une véritable violence. Face à cette violence, face à ce symbole du racisme ambiant, ce symbole de la nostalgie colonialiste, devrions nous répondre avec la tendresse ou l’amour ?

 

Peut-être. Peut-être le ferions-nous si les choses n’étaient pas ce qu’elles étaient.

 

Peut-être la réponse sur ce qu’il s’est passé se trouve dans la citation que nous avons épinglée :

 

Pourquoi ? Parce que le seul moyen de surmonter c’est de les obliger à avoir honte. La honte, c’est le début de la morale.

Comment blâmer notre « pauvre zouave », n’a t’il pas tenté, par les méthodes de Finkielkraut elles-mêmes, d’enseigner un début de morale à ce pauvre hère ?

 

Peut-être.

 

Ou peut-être simplement en avons-nous assez ?

 

Comment en serait-il autrement ?

 

Alors que la loi travail vient liquider nos acquis sociaux, veut nous ramener au XIXe siècle, nous devrions sourire et accepter. Nous devrions aussi nous contenter d’un simple désaccord de pure forme lorsque la police vient nous arrêter, nous frappe, nous blesse. Pour les bourgeois et les bourgeoises en beaux costumes, nous devrions répondre à cela par la politesse et les mots doux.

Lorsque, à Mayotte, c’est l’armée qui intervient, parce que la population exige l’application du code du travail, nous devrions juste nous contenter d’un simple « c’est bien dommage » et condamner les émeutes. Lorsque la France déstabilise des pays, prépare des coups d’Etats, et que ses soldats commettent des viols sur des enfants, nous devrions nous dire chanceux que cela ne nous arrive pas.

Lorsque nous voyons le racisme gagner du terrain, les complotistes avancer leurs pions jusque dans nos rangs; lorsque nous voyons nos frères et sœurs de misère être expulsés et retenus aux frontières, nous devrions débattre avec ceux qui en sont responsables, et juste leur dire notre désaccord.

Lorsque le sexisme et les conceptions patriarcales ont pignon sur rue, nous devrions accepter cela comme un état de fait.

 

Oui, nous en avons assez.

 

Lorsqu’un bourgeois, lorsqu’un réactionnaire lance ses discours racistes et réactionnaires, c’est la liberté d’expression. Dès que nous répondons, c’est du totalitarisme, du stalinisme, du maoïsme. Oui. Et nous n’en avons nullement honte. Nous n’avons pas honte de citer Lénine lorsqu’il écrivait :

 

“Nous” disons donc à la bourgeoisie: Vous, exploiteurs et hypocrites, vous parlez de démocratie alors qu’à chaque pas vous dressez des milliers d’obstacles pour empêcher les classes opprimées de participer à la vie politique. Nous vous prenons au mot, et afin de préparer les masses à la révolution, pour vous renverser, vous autres exploiteurs, nous demandons, dans l’intérêt de ces masses, que votre démocratie bourgeoise soit élargie.

 

Et si vous, exploiteurs, tentez de résister à notre révolution prolétarienne, nous vous réprimerons impitoyablement, nous vous enlèverons vos droits politiques; bien plus nous vous refuserons le pain, car dans notre république prolétarienne, les exploiteurs n’auront pas de droits, ils seront privés d’eau et de feu, car nous sommes des socialistes pour de bon.” 6

 

La violence première, c’est celle que nous subissons chaque jour, par l’exploitation, la discrimination, la misère. Les exploiteurs ne se privent pas de faire usage de la violence pour faire triompher leurs intérêts. Mais la leur est légale, la leur est celle de leur outil, l’Etat.

Et lorsque l’Etat ne suffit pas, il leur reste à faire appel à leurs laquais, les fascistes.

 

Mais nul ne se prive de condamner la violence du peuple, qui nuit à l’ordre publique. Or cet ordre public n’est que l’ordre de l’exploiteur.

 

Non, M.Askolovitch, vous ne connaissez pas cela, vous ne le vivez pas. La violence des mots n’a pas prise sur vous, parce qu’elle glissera sur votre peau dans le confort de votre nid douillet. Pour nous, elle s’ajoute, se cumule, se multiplie à celle que nous vivons dans notre vie de tous les jours.

 

« Le corps de l’autre est-il sacré? Les souriants de la contestation, les gentils de la bande, dont on chante complaisamment l’utopie, sont-ils au net avec cette histoire? On ne parle pas des Blacks Blocs, encore une fois, pas des casseurs, mais de la petite offense, le rire frais qui enrobe la haine, les écorchures à la dignité. Un méchant, enfin, a-t-il une âme? »7

 

Nous voilà réduit à notre méchanceté. Notre vice, Tout le contenu idéologique de notre rejet de l’exploitation réduit à un « il est méchant ». Après tout n’est ce pas derrière cet argument qu’est vendu, dans l’éducation, les terribles « crimes du communisme », imputés à la psychologie d’individus, mais jamais à des circonstances, jamais à des situations concrètes, comme si chaque instant n’était que le huis clos de ses acteurs, et que jamais l’extérieur, ni le passif n’intervenait.

 

Il ne s’agit pas de dire que cracher sur Finkielkraut est « bien », la morale ne rentre pas en ligne de compte. Mais juste de dire que ça n’est pas un acte gratuit. C’est un reflet d’une trajectoire. Celle du provocateur raciste et colonialiste, intouchable, avec la réalité d’une masse qui n’en peut plus. Avec la réalité d’une colère d’un vécu.

 

Peut-être la colère est elle mauvaise conseillère, mais elle n’est jamais d’ex nihilo. Elle est toujours la résultante d’une succession d’enchaînements d’évènements, de processus, qui amènent à ce que l’acte arrive.

 

 

«Après 68, c’était terrible. Mais à la Sorbonne, en 68, c’était vraiment un lieu de débat, tout le monde pouvait venir, tout le monde discutait.
–Et si des types d’Occident étaient venus regarder, franchement! Je ne compare pas!
–Occident, ils débarquaient avec les matraques et le crâne rasé! Ce n’est pas moi, qui vient avec ma femme pour regarder!»8

 

 

Notre Finkielkraut oublie cela, quand il sort de sa tour d’ivoire avec son épouse, et qu’il, abandonnant la protection de la distance, vient se mêler à ceux qu’il insultait auparavant. Il a beau se défausser en prétendant qu’il n’est pas comme le groupe fasciste occident, qu’il n’est pas venu avec sa matraque, mais ses mots, ses thèses, ont causé des dégâts similaires.

 

Les thèses qu’il a développées ont contribués au renouveau de la réaction, à la libération de la parole réactionnaire et fascisante. Elles ont eu le même effet que les discours d’occident. Pire, les deux se confondent.

 

Certains argueront qu’il était dans le bon camp, dans celui du progrès en mai 1968. Qu’il n’est pas mauvais. Mais à ceux là, nous rappellerons les lois inaltérables de la dialectique, et que les fruits qui naissent à un moment peuvent pourrir après. Le bourgeois radical qu’était Finkielkraut en 1968 à continué sa route de bourgeois, et a adapté son discours aux intérêts de sa classe. Il a suivi bien d’autres, pour qui l’amusement de la petite rébellion s’est tari avec le temps, avec la rentrée dans une vie rangée, d’intellectuel idéaliste et pédant.

 

Bien des fruits pourrissent ainsi, et Alain Finkielkraut en est l’exemple même. Ces fruits sont pourris comme l’est la bourgeoisie en tant que classe, qui n’est qu’un parasite social.

 

Nous, communiste, sommes fiers d’être le camp de la colère, le camp de ceux qui rejettent cette société pourrissante et réactionnaire. La violence naît de l’exploitation, du capitalisme, de la misère. La bourgeoisie se plaint de cette violence, mais seule son autodestruction en tant que classe pourrait la supprimer. Etant polis et serviables, comme l’exige Monsieur Askolovitch, nous serons ravis de les aider.

 

Etant donné que pour Alain Finkielkraut « Internet devient un immense cloaque où les sphincters de la liberté ne cessent de déverser leurs productions innombrables »9 Nous osons espérer être à la hauteur de ses attentes.
 

1http://www.slate.fr/story/116867/finkielkraut-nuit-debout

2http://www.arretsurimages.net/breves/2013-11-11/Finkielkraut-un-avis-sur-tout-documente-sur-rien-Le-Monde-id16388

3http://www.slate.fr/story/116867/finkielkraut-nuit-debout

4LA GRANDE REVOLUTION CULTURELLE PROLETARIENNE Recueil de documents importants. Texte publié en 1970 aux Editions en langues étrangères de Pékin.

5http://www.acrimed.org/Les-predications-d-Alain-Finkielkraut-Mon-savoir-absolu-sur-les-quartiers

6Lénine. La révolution prolétarienne et le rénégat Kautsky.

7http://www.slate.fr/story/116867/finkielkraut-nuit-debout

8http://www.slate.fr/story/116867/finkielkraut-nuit-debout

9En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/01/31/internet-est-une-malediction-selon-finkielkraut_4357704_3224.html#2DUQH5rqd5um8T5I.99

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