Wauquiez veut siffler la fin de la "récré" pour les bénéficiaires du RSA.

 

Laurent Wauquiez, tout comme la cohorte de charognards qu'il traîne dans son sillage, peut siffler tant qu'il veut.

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Ces individus et la classe qu'ils représentent n'ont jamais su ce qu'était le travail honnête, ils ne connaissent que le parasitisme, se contentant de se partager le gâteau du travail fait par les prolétaires, par les travailleurs.
Ils se réjouissent du chômage, pourtant, ces capitalistes, ils se réjouissent de pouvoir faire pression sur les salaires, sur les conditions de vie des travailleurs, par le terrorisme de l'exclusion sociale.
Ce n'est pas de gaieté de cœur que les ouvriers, que les travailleurs en général, acceptent les réductions de salaires, les hausses de temps de travail. C'est le couteau contre la gorge.
Ce n'est pas en sautant de joie que la petite et moyenne paysannerie s'endette jusqu'au suicide, qu'elle se saigne à blanc pour les profits des firmes agro-alimentaires, c'est parce qu'elle y est contrainte, c'est parce qu'elle est pieds et poings liés.
Mais pour les Wauquiez, dépendre du RSA, dépendre de la misère institutionnalisée, c'est s'épanouir dans une cour de récréation, dans l'insouciance et le bonheur, tandis que les patrons du CAC40 sueraient sang et eaux pour nous sauver tous.

Mais, pourtant, nous le prenons au mot, ce candidat, et oui, effectivement, un jour la "récré" sera sifflée. Un jour, ceux qui n'ont fait que voler le travail devront eux même travailler de leur main, si ils veulent un toit, du pain, et la liberté. Ils devront payer les crimes et les abus qu'ils ont commis, tant dans l'Etat Français que dans les régions dominées par son impérialisme, où, pour une poignée d'euros, le sang coule.
Oui, M. Wauquiez, la "récré" sera sifflée. Elle le sera. Et ce jour là, vous serez bien en peine, vous les profiteurs, de devoir travailler si vous ne voulez pas être châtiés!

Peut-être le réactionnaire fini, candidat à la primaire de droite, M. Poisson, dirait que "Dieu pardonne". Peut-être. Mais pas nous, ni le prolétariat.

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